raduction d’une partie de : Avrid n temzi (La route de la jeunesse)- à 11.01 Tant de choses se sont passées Depuis que tu es parti Ce jour-là, qui aurait dit Du peuple, qu’en est-il resté Au mur, quand on l’accula Sa force est là, on la voit Pour vous, nous compatissons Morts, vous n’étiez pas présents En quatre-vingt, soulèvement Vos connaissances, se rappelant Ils se disent, pendant longtemps Notre langue, malade, la laissant C’est le pauvre fils des monts Qui comme toi, va le premier Quand d’autres se sont levés Aux seuils, arrive la dissension Depuis, les temps ont changé Le Kabyle, la tête, relevant Même les gens qui ne voulaient Par peur, dignité s’y mettant La langue est debout maintenant On l’a secouée, nettoyée Parmi ces enfants, elle est Qui l’a levée ne la posant N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
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