Bonjour, aujourd’hui j’aborde un sujet pas forcément très conventionnel mais qui me plait bien : les choses désagréables qu’il faut accepter quand on part randonner. Sans difficulté réussir quelque chose n’a pas de saveur, c’est pourquoi la randonnée nous réserve pas mal de surprises qu’il faut connaitre pour savoir les gérer et les accepter comme pas intégrale de l’activité.
-Etre mouillé quand il pleut. On peut simplement éviter de l’être complètement mais on tend toujours à être comme l’environnement dans lequel on est. Sec : sec, poussiéreux et irrité. Humide : mouillé, imbibé et collant.
-Avoir les pieds mouillés, tôt ou tard ça vous tombera dessus. Il faut juste faire avec et le gérer en les séchant de toutes les façons possibles.
-Votre veste water-resistante n’est pas water-résistante
-Vos chaussures waterproof ne sont pas waterproof
-Votre abris ventilé au max n’est pas gage d’absence de condensation.
-les ampoules
-jongler entre les couches selon la météo et le terrain
-Avoir mal au pieds/jambes/dos. Les pieds c’est presque inévitable. Même en étant bien préparé ils vont être mis a rude épreuve, la répétition d’efforts jour après jour va vous forger un physique mais ça va un peu piquer au début. C’est le jeu. Pareil pour les jambes et même encore plus! Je dirais que les jambes, les muscles et les genoux, s’habituent sans s’habituer. En fin de journée même avec une super condition, on est fatigué et on a mal aux jambes. Les genoux c’est selon chacun mais de grosses descentes répétées uses. Un sac léger limitera tous les maux cités. Pour le haut du corps c’est uniquement lié au poids du sac, épaules, bassin mâchées sont des choses auquel il faut s’attendre quand on porte lourd ou qu’on porte léger mais qu’on prend bcp de nourriture et d’eau, donc porte lourd.
-Avoir froid le matin en sortant du duvet. C’est pas agréable, mais avec un peu de discipline ça devient une formalité.
-Avoir soif et avoir faim. Cela peut être désagréable mais ça ramène au chose fondamentale de la vie. Quelle joie de savourer un bon repas le soir au refuge et en ville quand on rentre de plusieurs jours à manger des repas plus ou moins digne. Quelle bonheur de trouver une source pure et fraiche après une grosse montée sans une goute d’eau sous une chaleur accablante!
-Supporter les moustiques. Selon les régions il y en a plus ou moins mais quand c’est le plus c’est un vrai enfer et une fois de plus il faut faire avec.
-Ne jamais être totalement propre. Sortir de ville propre comme un sou neuf et 30 minutes plus tard transpiré comme un bref, voila à quoi tu es destiné. Aussi, tous vos efforts pour rester propre et sentir bon serrons continuellement détruis. Mais il faut le faire. A vous de vous lavez avant d’aller au lit pour passer au moins la nuit au propre.
-l’absence de vue quand tout est bouché par les nuages.
-ne pas réussir son objectif sans se mettre en « danger », mauvais temps, mauvaise condition physique, mauvaise préparation, acceptons le pour mieux repartir.
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