On les connaissait sous le nom de TS, ils ont été rebaptisés Ocean Rider Catamaran afin de viser un marché international. Nous sommes montés à bord de l’ORC 42, un catamaran de course-croisière qui pulse et correspond à des programmes de navigation bien spécifiques.
Dans le monde de la course au large, le chantier lorientais Marsaudon Composites a une solide réputation, lui qui a notamment construit de mythiques trimarans tels qu’IDEC 2 ou Prince de Bretagne. Racheté en 2017 par Damien Cailliau, il a désormais un potentiel de production de dix unités de 42 à 57 pieds par an. Une gamme qui s’adresse d’abord à un public de marins avertis souhaitant conjuguer technique, sensations et multicoque. L’ORC 42 - à l’instar de ses grands frères - n’est pas un simple multicoque habitable, c’est une machine capable de dépasser sans forcer les 20 nœuds et de friser les 30 nœuds lors d’une navigation engagée. Des performances qui lui permettent de prétendre aux podiums de nombreuses régates tout en offrant l’espace d’un catamaran avec des emménagements minimalistes - voire un poil spartiates - pour conserver un devis poids serré.
Негізгі бет Essai de l'ORC 42 anciennement TS
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