Le pauvre ne se rend compte de la valeur de la santé que lorsqu’il voit le riche sur le lit d’hôpital. L’être humain a pris la santé pour un acquis, au point qu’il ne se souci même pas de sa préservation. C’est triste de voir tout ces malades, qui pour certains, n’ont pas les moyens d’assurer les charges financières de leurs soins; pour d’autre, les médecins n’ont pas trouver de traitement. C’est triste et ça fait peur. La santé est précieuse.
Une pensée et un appel à la solidarité envers les malades. Plus de compassion, d’humanisme, de tolérance et d’amour.
Негізгі бет Issouf Sanou - Kènèya
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