HORACIO FERRER.
La rencontre entre le poète Horacio Ferrer et le compositeur Astor Piazzolla a donné lieu en 1968 à un nombre considérable de « chansons ». Mais la qualité de ce corpus et sa notoriété en Argentine ne doit pas occulter que, dans la majorité des cas, le préalable était un poème auquel Ferrer n’avait pas pensé adjoindre un jour une musique. Avec l’aide de la traduction de Françoise Thanas (et non des adaptations françaises des versions chantées de ces mêmes textes), traduction que nous avons revue sur quelques points d’assonances uniquement, nous replongeons les vers de Ferrer dans le bain musical qui les a au contraire précédés : une composition d’un autre argentin, Abel Fleury : la Milonga del Ayer.
[La playlist « Entre deux langues » réunit quelques confrontations orales ou écrites entre le français et tel ou tel autre parler, mort ou vivant.]
Негізгі бет Je mourrai à Buenos-Aires/Balada para mi muerte - Carmen Brown, Elven et Pascal Ruiz/Horacio Ferrer
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