Les critiques étant toujours constructives, merci de votre retour.Cela dit, l'introduction comme son nom L' indique est introductive, donc ne prétend pas à L exhaustivité au niveau des définitions, des notions proches... Qui plus est, je mentionne en effet Jankelevitch mais de facon indépendante par rapport au tout début. Il faut donc que je sois plus claire :-), cest bien noté ! Et enfin, ma connaissance du soin est nécessairement superficielle n étant pas soignante mais dans la philosophie. Mon point de vue n est qu un point de vue mais je tâcherai de l'agrémenter de vos références tout à fait à propos (même si 20 minutes ne laissent pas le temps de passer par tous les textes) !
@roxaneredlight6183
7 жыл бұрын
Bonjour, il me semble que dans les premiers propos que vous tenez concnernant M. Jankélévitch, il y a une erreur. vous dites pour le reprendre " On ne ment jamais volontairement", alors que sa citation " On ne ment jamais sans le vouloir" retranscrit plutôt l'idée inverse. Est-ce une erreur de votre part ou ai-je mal compris? Cordialement.
@bernardbassleer1526
8 жыл бұрын
Très bel exposé et j'aimerais avoir la position par rapport au mensonge du patient dans une situation de patient partenaire.
@jan-cedrichansen5687
8 жыл бұрын
l'introduction (avant l'exposé du jugement moral du mensonge) m'apparaît comme confus et surtout inapproprié en ce sens que le distingo entre mensonge, déni, oubli et amnésie est negligé parler de mensonge "involontaire" est contradictoire de la definition de Jankelevitch cité en excerpt c'est dommage cela gâche votre présentation de plus votre connaissance du soin me semble superficielle car vous négligez des contextes éthiques qui auraient enrichi votre reflexion et donc votre discours. le code de deontologie ne semble pas avoir été consulté ou du moins exploité. enfin, vous citez le corpus Hippocratique mais vous ne parlez pas de l'impératif "kantien" qu'il contient à travers le "primum non nocere" qui justifie votre propos que vous appuyez avec Socrate et Saint Thomas d'Aquin. votre introduction à la "temporalité" (chronos) et au "parcours de la revelation" vous éloigne du sujet du "mensonge dans le soin" tout comme l'évocation de "l'intuition" (karios) qui m'apparait comme hors propos (meme si elle est intéressante en soit relativement au role et au pouvoir décisionnel du soignant mais c'est un autre sujet). il aurait été intéressant de développer le conflit moral - pour le coup - entre dire la vérité, ne pas mentir et accompagner la revelation de la vérité qui sont trois postures ethniquement acceptables comme vous l'évoquez (je vous invite à assister au consultations d'annonce de diagnostic en oncologie) et le "mensonge dans le soin" qui est éthiquement indéfendable car le soin, comme le secret medical, est basé sur la confiance absolue laquelle n'autorise pas la possibilité du mensonge. ne pas dire à un patient - ou pire mentir - sur ce qu'on va lui faire, ne pas lui expliquer - lui clarifier - l'enchainement des causes premieres et secondaires qui conduisent à la decision du soin à l'aulne de sa finalité pour qu'il puisse juger du rapport entre désagréments induits et bénéfices escomptés (consolidation ou guérison) relève de la maltraitance (autre notion essentielle au débat que vous n'évoquez pas). disponible pour discuter plus avant si ce sujet vous intéresse toujours
@mouns7727
6 жыл бұрын
bjr, peut ont être docteur en philosophie sans avoir eu des cours.?.
@permafroost
3 жыл бұрын
Assez confus et sans grand intérêt, sinon de justifier le mensonge là où il ruine la confiance. Le seul fait que les patients sachent que les médecins mentent régulièrement encourage la défiance et le refus de soins.
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