En 1964, Boudiaf est condamné à mort par le régime de l'époque, il quitte l'Algérie dans la clandestinité pour rejoindre le Maroc, via la Tunisie et la France ou il lui est signifié une interdiction de séjour;
En 1992, l'Algérie vit sa plus grande crise poste-indépendance, il rentre par respect au serment de Novembre 1954.
" Je refais dans l'esprit du 1er Novembre 1954, le serment : Tout sera mis en oeuvre, quelles qu'en soient les conséquences pour que notre Algérie poursuive sa marche dans la voie du socialisme authentique, qui est celle de la liberté, du progrès, de la justice;
En l'espace de 166 jours, du 16 janvier au 29 juin 1992, a travers ses discours, interviews et prises de parole, la frayeur s'installa, ( comme en 1954, chez les cadres du PPA/MTLD). Après un exil de 28 années, ces mêmes cadres du FLN, du FIS, ainsi que du pouvoir en place, sont paniqués, terrifiés, affolés, tous complices les uns que des autres, ils l'éliminent, pour son projet politique du RPN, qui allait mettre fin au régime de 1962 dont ils sont devenus rentiers.
Негізгі бет Les derniers 166 jours de Boudiaf
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