𝐕𝐢𝐬𝐢𝐭𝐞 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐙𝐨𝐧𝐞 𝐈𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐆𝐥𝐨-𝐃𝐣𝐢𝐠𝐛𝐞́ 𝐝𝐮 𝐏𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭 𝐍𝐢𝐜𝐞́𝐩𝐡𝐨𝐫𝐞 𝐒𝐎𝐆𝐋𝐎, 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐚𝐮-𝐝𝐞𝐥𝐚̀ 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐯𝐚𝐠𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬, 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐠𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐟𝐟𝐨𝐫𝐭 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐁𝐞́𝐧𝐢𝐧.
Le mardi 3 septembre 2024 restera une date mémorable dans l’histoire récente du Bénin, marquée par la visite de l’ancien chef de l’État, Nicéphore Dieudonné SOGLO, à la Zone Industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ). Cette visite n’est pas anodine. Elle symbolise à la fois la reconnaissance des réalisations du gouvernement de Patrice TALON et un regard historique porté sur le chemin parcouru par le pays depuis la Conférence nationale de 1990, à laquelle SOGLO avait joué un rôle décisif.
À son arrivée sur le site de la GDIZ, Nicéphore SOGLO, aujourd'hui âgé de 94 ans mais toujours animé par la même ferveur pour le développement de son pays, a découvert un visage du Bénin qui l’a profondément marqué. La GDIZ, véritable moteur de l’industrialisation et de la transformation économique du Bénin sous l'ère de Patrice TALON, représente une infrastructure clé dans la stratégie de diversification économique du pays. Cette zone industrielle est le symbole d’une vision axée sur la création de valeur ajoutée locale, l’emploi et l’industrialisation à grande échelle.
Les propos tenus par l’ancien chef de l’État, à la fin de sa visite, ont frappé par leur sincérité et leur force. Après avoir visité les différentes installations et pris connaissance des nombreux projets en cours, Nicéphore SOGLO a laissé transparaître son admiration :
"Ce que j'ai vu ici m'a tellement impressionné. Je ne peux même pas imaginer que cela se passe dans mon pays sans que je n’en sache rien. Et on ne dit rien ! Ce n'est pas bien. Je vais aller voir le Président TALON pour lui dire que ce n’est pas sérieux. L’homme travaille d’arrache-pied et le pays avance. Et on ne dit rien !"
Ces paroles, lourdes de sens, viennent d’un homme qui connaît les défis de la gouvernance, ayant lui-même dirigé le Bénin durant une période cruciale de son histoire. Elles traduisent une reconnaissance non seulement du travail accompli, mais aussi de la discrétion avec laquelle Patrice TALON a mené ses réformes et initiatives de développement. Nicéphore SOGLO, en tant qu’ancien chef de l’État et acteur majeur de la renaissance démocratique du Bénin, ne pouvait cacher sa satisfaction devant l’ampleur des transformations en cours, qu’il ne soupçonnait même pas.
Cette visite et les déclarations de Nicéphore SOGLO résonnent profondément dans l’opinion publique et dans la sphère politique. Loin des rivalités habituelles entre générations de dirigeants, cet événement symbolise une reconnaissance transgénérationnelle de l’effort de développement mené par le gouvernement en place. Le Bénin, depuis la Conférence nationale de 1990, a connu plusieurs périodes d’espoir et de désillusions, marquées par les idéaux de RENOUVEAU, de CHANGEMENT et de REFONDATION.
Nicéphore SOGLO, qui a dirigé le pays de 1991 à 1996, avait lui-même insufflé une dynamique de modernisation, mais son mandat avait été freiné par les nombreuses contraintes de l’époque et les réalités politiques complexes. De son côté, Boni Yayi, succédant à Mathieu Kérékou, avait essayé d’instaurer un "Changement" puis une "Refondation", mais ces tentatives n’ont pas véritablement porté les fruits escomptés. C’est dans ce contexte qu’en 2016, Patrice TALON arrive avec une approche radicalement différente : la "RUPTURE" et le "NOUVEAU DÉPART". Rejetant le populisme et les compromis habituels de la classe politique, TALON a fait le choix d’un travail de fond, basé sur des réformes structurelles.
Huit ans plus tard, le Bénin est en pleine mutation, et les résultats sont là. La GDIZ en est un exemple phare. Cette visite de Nicéphore SOGLO, avec ses mots forts, marque une validation tacite des actions entreprises par Patrice TALON. Pour un ancien président qui a lui-même lutté pour un Bénin prospère et moderne, voir de ses propres yeux les avancées de la GDIZ est un témoignage de l'ampleur de la transformation en cours.
La Zone Industrielle de Glo-Djigbé, avec ses infrastructures modernes et ses projets industriels ambitieux, s’inscrit dans une stratégie nationale visant à réduire la dépendance du Bénin aux matières premières non transformées et à générer une valeur ajoutée locale. En attirant des investisseurs locaux et étrangers, en créant des emplois et en dynamisant le tissu industriel, la GDIZ devient une locomotive pour le développement du pays.
C’est cette réalité que Nicéphore SOGLO a pu découvrir. Lui qui, en tant qu’architecte du redressement économique du Bénin au début des années 1990, comprend mieux que quiconque les défis liés à la gestion d’un État en transition. Ses mots ne sont pas uniquement une reconnaissance des prouesses techniques ou industrielles, mais aussi un hommage à la vision de long terme que nécessite une telle entreprise.
/ azluzrr4xu6zsqyn
Негізгі бет Reconnaissance des efforts de développement sous TALON, Imelda BADA salue la sagesse de SOGLO
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