Message à Anne FRANK Anne, en lisant ton journal, j'ai ressenti ta souffrance et j'ai pleuré. Très jeune, je ne comprenais pas comment des humains pouvaient commettre autant d'atrocités. Aujourd'hui, cela se reproduit, d'autres enfants, d'une autre communauté, sont affamés, assoiffés, privés de soins, bombardés en continu. Ils sont pourchassés de camp en camp comme du gibier. Les corps de tous ces gamins déchiquetés, défigurés gisent sous les décombres de leur maison et de la poussière de leur terre. Du camp d'Auschwitz au camp de Gaza, aucune différence: on extermine méthodiquement et froidement, sous l'œil complaisant des « démocraties civilisées ». Il y a eu ton journal pour raconter l'horreur, maintenant il y a l'image pour montrer le visage sans fard de la haine. Anne, comme à toi, ils leur ont ôté la vie.
Пікірлер: 2