Dans l'ombre des jugements, dans le fracas des paroles vaines,
Les gens condamnent, sans voir les âmes qui peinent.
Leurs mots sont des chaînes, lourdes de préjugés,
Mais dans cette vie éphémère, nous ne sommes que de passage.
Ils scrutent les apparences, oubliant les cœurs sincères,
Trop aveuglés par l'extérieur pour comprendre l'univers.
Dans leurs jugements sévères, ils oublient la clémence,
Car à la fin, c'est à Dieu qu'appartient le dernier jugement.
Les masques sociaux cachent la vérité profonde,
Chacun porte sa croix, son fardeau, sa réponse.
Qui sommes-nous pour juger, pour condamner autrui,
Dans ce voyage éphémère, où tout finit par s'évanouir ?
Les paroles, elles s'envolent, laissent place au silence,
Là où les vérités se révèlent, où naît la clairvoyance.
La vie est un souffle, une étoile dans l'immensité,
Et seul Dieu connaît la justesse de notre destinée.
Alors que les jugements tombent comme la pluie d'automne,
Rappelons-nous que notre séjour ici est monotone.
Dans cette épreuve terrestre, dans cette vaste danse,
Que l'amour et la compassion soient notre seule sentence.
Car lorsque viendra le jour du dernier jugement,
Les paroles vides seront emportées par le vent.
Ce qui comptera, c'est l'amour et la bienveillance,
Dans cette vie éphémère, c'est notre seule récompense.
Негізгі бет wi aadan aghichemeth
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